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"MANU" PIGET
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Le début de saison est plutôt mouvementé pour Emmanuel PIGET.
A cause d’un violent accrochage à la première manche du Championnat d’Europe à GENK (Belgique), le jeune charentais s’est vu contraint à une convalescence forcée (côtes fragilisées). Non seulement, il ne peut monter dans un kart mais doit arrêter tout sport… Bilan : 3 kg en moins.
Emmanuel PIGET
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Au Val d’Argenton, Manu se rappelle au bon souvenir de tous. A commencer par les autres pilotes. Pendant les premières manches qualificatives, Emmanuel PIGET se place régulièrement dans les dix premiers. Le dimanche matin, dans la dernière manche qualificative, Manu démontre tout son potentiel sur la pluie après un départ… d’anthologie.
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Seulement voilà.
Il y a toujours, à un moment ou à un autre, ce petit grain de sable qui vient s’infiltrer dans la mécanique…
Or la mécanique du kart est plutôt fragile !
Jon Paul , le mécano d'Emmanuel PIGET
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Après s’être qualifié en finale (21ème sur les 106), Manu doit se battre non seulement avec les autres concurrents mais également avec son kart. Au final, une 27ème et une 25ème place sur 106. "Le comportement du kart était plus qu’étrange : glissant de l’arrière, instable à l’avant…" explique Emmanuel PIGET, avant d’ajouter "nous avons beaucoup de mal à le régler dans ces conditions de piste".
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VEGA France
Les essais et les manches qualificatives l’avaient montré : sur le sec, il est assez difficile de régler le kart avec les pneus VEGA. D’ailleurs, Emmanuel PIGET est le seul pilote roulant avec des VEGA à s’être qualifié en finale (34 pilotes). |
Le potentiel des pneumatiques n’est certes pas remis en cause, mais des réglages spécifiques restent à déterminer. Or, les pneus, c’est assez loin d’être un accessoire en karting : "si les pneus ne travaillent pas comme il convient, on passe très mal les virages, et on est pénalisé en ligne droite. A la fin, même le moteur ne peut donner toute sa puissance…", nous précise Manu.
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