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UNE VIE VOLEE |
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rien, je peux pas. Alors que ça aurait été euh... J'sais pas... Au hasard... euh... Lara Fabian ! Et ben là tout de suite y a des tas d'images et de mots qui me viennent et j'ai même pas le temps de les noter. C'est incroyable, vous ne trouvez pas ? Bon, tout ça pour dire que Winona, si t'es seule et si tu passes dans la région, n'hésite pas à m'appeler à tout moment au journal qui transmettra. |
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James Mangold pour son précédent film Copland avait rassemblé une brochette d'acteurs comme Max Pecas n'en a jamais rêvé. |
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Imaginez plutôt De Niro, Keitel, Liotta et Stallone avec lequel il s'est très bien entendu même s'il en avait fait un flic sourd. Pour son troisième film, il inverse la vapeur en invitant sur son plateau que des filles, ce qui n'est pas mal non plus. |
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Elle va ainsi peu à peu se fondre dans cette communauté de jeune fille où le monde s'arrête au mur de cet hôpital psychiatrique. Sa rencontre avec Lisa sera décisive sur sa façon de s'ouvrir à une autre vie, à d'autres sentiments et à d'autres pensées. |
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D'une histoire vraie, Mangold tire une belle oeuvre qui aurait fait la joie des Dossiers de l'Ecran il y a quelque temps. A la fois forte mais un poil emberlificotée pour plaire au maximum de gens, cette histoire passant des rires aux larmes, se laisse suivre avec un plaisir certain. |
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Il est vrai que la distribution y est pour beaucoup, Winona Ryder, qui fut l'initiatrice du projet ainsi que la productrice exécutive, a approché son personnage avec beaucoup de sensibilité ; quant à Anjélina Jolie elle est fascinante dans un rôle où il lui était facile de plonger dans la caricature. |
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